Comment avez vous réussi surmonter le décès d’un proche parents ( père, mère, frère, sœur ou autre parents )

Mais aussi des amis.
La vie nous retire les personne qui nous sont chère et pour certain ou certaine personne, l’épreuve peut être douloureuse, longue et triste.
Comment avez vous réussi a passer le cap du deuil et comment avez vous fait? EN SAVOIR PLUS >>>

La personne que j'ai perdu est mon père et la ou ça fait le plus mal c’est qu’on c’est quitter fâcher et rien ne pourrais arranger les choses maintenant.
On a toujours été en conflit et se que je regrette maintenant c’est qu’on pourra plus améliorer notre relation père fils
y a malheureusement rien à faire
seul le temps est efficace
si elle est à l'autre bout du pays, cela ne se fait pas d'inviter pour un week end,autant ne rien faire, sinon il faut au minimum dix jours pour avoir le temps de se reposer, mais tu peux mettre sous clef tous tes papiers et tes comptes.
je ne m'en remet pas encore
J'ai perdu mon frère il y a 3 ans 1/2. Cancer des poumons.
Je l'ai soutenu dans sa maladie.
Après son décès, j'ai fait qques mois de dépression, je "payais" toute ma tristesse, et ces mois où je lui avais tenu la main sur son lit d'hopital, dans son agonie.
Ce qui m'a aidé, est simplement de me dire "ses souffrances sont terminées, et, où qu'il soit, c'est mieux ainsi".
Je suis croyant, mais pas "béni oui-oui", j'ai lu énormément de livres consacrés à la mort, à la fin de vie, etc. Cela m' a aidé.
Aussi, je me suis dit, peut-être égoïstement, que je n'aurais pu faire plus pour lui, je lui ai donné tout ce que je pouvais, de mon temps, de mon soutien, de mon amour. je n'ai rien à regretter de ce coté-là.
J'ai accepté sa mort. je suis serein.
Enfin, il a fait preuve d'un courage inouï, d'une dignité absolue, ne s'est jamais plaint, s'est montré d'une force et détermination face à la maladie que je ne pouvais imaginer. Il m'a bluffé.
Je le lui ai dit, 24h avant son coma, 1 semaine avant son "départ".
Il m'a souri, je l'ai senti, pour la dernière fois, content de l'image qu'il nous donnait, rassuré, presqu'heureux, l'espace de quelques minutes.
C'est ce sourire, le signe du bras qu'il m'a fait ce soir-là quand je suis parti, le fond de son regard que je garde en moi. Le reste n'existe plus, c'est fini.
Pas son sourire : il eset au fond de moi, et donc, quelque part, vit encore.
Nous perdons des proches, des amis. il faut rester fort, comme s'ils étaient encore là.
S'ils pouvaient nous voir, ils voudraient nous voir actifs, heureux, et en ayant le meilleur souvenir d'eux.
Surement pas effondré, cassé, meurtri.
La Vie est plus fort que tout.
il faut du temps au temps mais on oublie jamais la mort d'un être cher.